Eh bien là, pas du tout. Car Etienne Ruhaud ne se contente pas de parler de Traction-brabant ! Il se livre à un vrai vagabondage à travers les lectures qui l’ont marqué (« La conjuration des imbéciles » de John Kennedy Toole), ou évoque des expositions, des auteurs professionnels connus (Pierre Guyotat).
En même temps, vive le journalisme littéraire s’il ne se limite pas à parler que des auteurs ou initiatives archi reconnues !
Pour entrer dans le paysage, c’est ici.