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Archives du 31/12/2017

BONNE ANNÉE 2018! (Vie du blog 4)

 

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Pour une nouvelle année poétique, sous les auspices de Dionysos!

 

 

Chers amis, chers lecteurs,

   Comme chaque 1er janvier, avant de vous présenter nos vœux, nous revenons sur le fonctionnement du blog, sur ses évolutions, et sur nos perspectives, pour les douze mois à suivre.

  • Ce blog fut créé en septembre 2014 pour faire suite à notre précédente adresse, « Opéra fabuleux », sur hautetfort.com. Outre le fait que WordPress.com offre de plus grandes capacités techniques, il s’agissait pour nous de faire « peau neuve », en tirant les enseignements d’une précédente expérience, longue de vingt-et-un mois (de janvier 2013 à septembre 2014, donc). Nous avons reçu notre ISSN (numéro d’enregistrement auprès de la Bibliothèque Nationale de France), le 21 mai 2015. Considéré comme un périodique à parution irrégulière, « Page paysage » est donc répertorié, classé. Bien que modeste, la fréquentation a augmenté, progressivement, notamment pour le second semestre 2017, jusqu’à se stabiliser en décembre. Nous avons ainsi reçu plus de 1500 visites par mois. Là encore, il n’y a pas de règles. Un article long et détaillé sur tel poète sera peu lu, quand tel hommage à tel autre, telle allusion à l’actualité, attirera des dizaines, voire des centaines, de curieux. La fréquentation s’est étonnamment internationalisée. Outre les traditionnels lecteurs hexagonaux, nous comptons aujourd’hui des abonnés en Belgique, au Canada. De manière surprenante, notre principal « fidèle » est américain, puisque les visites outre-Atlantique arrivent en tête. Cela vient sans doute de nos lecteurs iraniens, soumis à la censure, et donc obligés d’en passer par le darkweb, donc par d’autres pays.
  • Si on raisonne en termes de chiffres, nous avons publié 340 billets depuis septembre 2014, soit depuis un peu plus de trois ans. Nous comptons 77 abonnés par e-mail, et 50 abonnés sur notre page « Facebook » (page qui sera bientôt supprimée, suite à une polémique absurde). Le blog enregistre très exactement 29 701 vues depuis sa fondation, pour un total de 17002 visiteurs. Pour cette simple année 2017, nous avons enregistré 13047 vues, pour 8487 visiteurs, 103 mentions « like », 167 commentaires. Les Américains, ou Iraniens selon les cas, donc (cf. plus haut), arrivent en tête, avec 6300 visites, contre 5758 pour la France, 155 pour la Belgique, 110 pour le Canada, 107 pour la Suisse, 77 pour le Royaume-Uni et 69 pour l’Italie. Nous avons également des lecteurs en Roumanie, pays francophile par excellence. Notre marge de progression est donc bonne, en sachant que le blog reste « pointu ». Le record de vues absolu a été enregistré le 13 décembre 2017, date à laquelle nous avons diffusé un court-métrage où l’on peut voir le père de Johnny Hallyday, Léon Smet.
  • La progression des vues est liée avant tout, d’après nos suppositions, au phénomène Facebook. La diffusion gratuite, à de nombreux contacts du réseau, permet à l’évidence de propager la propos poétique qui est le nôtre. Nous ne souhaitons pas revenir en détail sur les raisons de notre départ, car cela introduirait un propos politique, quand « Page paysage », par-delà la morale et les écoles de pensée, se veut ouvert. Nous pensons utiliser de manière plus assidue Twitter, et peut-être recréer une page Facebook ultérieurement. Nous sommes également heureux de converser avec nos abonnés et visiteurs occasionnels, notamment par le biais de nombreux commentaires, laissés en bas des billets. Ce blog doit se vivre de manière collective.
  • « Page paysage » est essentiellement programmé vers le 28 de chaque mois, au moment de planifier les articles pour les quatre semaines à venir. Notre format a évolué, après des mois et des mois de tâtonnement. Désormais le blog est en quelque sorte régi de manière régulière, comme un mensuel. Dix billets de taille inégale paraissent chaque mois, sous forme de rubriques. Le 1er, ou le 2, paraît notre événementiel, une manière d’annoncer les manifestations à venir. Légèrement décalée, la série « ANGST » (« peur » en allemand), reproduit des photographies glanées sur le Net, parfois cocasses, parfois glauques. Sous la bannière « Surréalistes », nous montons une sorte de galerie avec des toiles, des œuvres, d’artistes proches ou loin du mouvement initié par Breton. « Vie du blog », rubrique à laquelle appartient le présent billet, permet de faire retour sur le fonctionnement même de « Page paysage », quand « Création personnelle » constitue une suite de textes libres, rédigés par nos soins. Les « réflexions littéraires », à parution aléatoire, sont une suite de brèves annotations autour de l’objet littéraire, quand « critique » donne à lire, une fois par mois, une note de lecture parue dans la revue Diérèse, de notre ami Daniel Martinez. Le « blogorama » (30ème numéro ce mois-ci!) explore les différentes adresses de nos amis écrivains ou artistes, pour proposer un panorama assez diversifié de l’offre poétique Internet. À noter qu’une nouvelle rubrique a vu récemment le jour, « Itzpapalotl » (« couteau d’obsidienne » en langue nahuatl). On y retrouvera des textes autour du Mexique, traduits et présentés par notre amie, la fidèle et infatigable Claudine Sigler. Le « ciné-club » permet de revisiter des court-métrages classiques, ou moins classiques. Dans « Mémoire des poètes », nous évoquons la sépulture de créateurs (essentiellement littérateurs), dans les cimetières franciliens, en retraçant leur parcours. Cela devrait faire l’objet d’un livre, à une date indéterminée. Enfin, ce blog étant essentiellement dédié à la poésie, nous reproduisons un texte contemporain, ou pas, en vers ou en prose, vers le 15. Les rubriques sont publiées toujours, à peu près, dans le même ordre, avec parfois quelques variations. Cela peut sembler routinier, mais l’abonné s’y retrouve, globalement.
  • Des évolutions, des réajustements interviendront probablement en 2018. Nous pensons continuer à composer un billet tous les trois jours environs, car il convient de ne pas noyer le public sous une avalanche de textes, sachant que nous sommes déjà soumis à l’hyper-connectivité, au quotidien. Ayant fait l’acquisition d’un nouveau joujou, sous forme de camescope Sony, à Noël, nous songeons à introduire progressivement un peu de vidéo, qu’il s’agisse d’entretiens ou de petits films poétiques. Nous reste à maîtriser l’engin. Nous parlerons aussi davantage d’art brut, a priori. 
  • Et les livres, nous direz-vous? Cette page n’a pas pour vocation de promouvoir, ou d’évoquer la vie de son auteur, Etienne Ruhaud. En 2018, si tout va bien, paraîtront trois essais dont la gestation fut longue. Notons également que nous avons signé notre premier contrat de scénariste en novembre, avec les Films de la Nuit, dirigés par le cinéaste Stanley Woodward. Ce n’est certes pas une mince fierté. Nous songeons également à publier de la poésie, à nous improviser micro-éditeur, à faible coût, par le biais d’une association créée il y a quelques jours, MYRTHO.
  • N’hésitez pas à nous faire part de vos impressions, de vos réserves, à nous signaler une éventuelle faute d’orthographe. Un dialogue peut ainsi s’ouvrir.

BONNE ANNÉE, DONC, ET BONNE LECTURE! (à défaut de musique classique, vous trouverez ci-dessous la célèbre interprétation de Dream a little dream of me par Mama Cass Eliot, ancienne chanteuse du groupe « The mamas and the papas ». Obèse, excentrique, mais jouissant d’un puissant organe, Mama est hélas prématurément décédée d’une crise cardiaque après un concert londonien, en 1974. Un peu de tendresse pour commencer 2018 en douceur).

Dream A Little Dream Of Me
Stars shining bright above you
Night breezes seem to whisper « I love you »
Birds singing in the sycamore trees
Dream a little dream of me
Say nighty-night and kiss me
Just hold me tight and tell me you’ll miss me
While I’m alone and blue as can be
Dream a little dream of me
Stars fading but I linger on dear
Still craving your kiss
I’m longing to linger till dawn dear
Just saying this
Sweet dreams till sunbeams find you
Sweet dreams that leave all worries behind you
But in your dreams whatever they be
Dream a little dream of me
Stars fading but I linger on dear
Still craving your kiss
I’m longing to linger till dawn dear
Just saying this
Sweet dreams, till sunbeams find you
Gotta keep dreaming leave all worries behind you
But in your dreams whatever they be
You gotta make me a promise, promise to me
You’ll dream, dream a little of me