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BONNE ANNÉE 2022!

Nos vues depuis le premier jour.

Chers lecteurs, chers abonnés, chers amis en poésie,

Comme l’an précédent, je préfère désormais présenter mes voeux par écrit. La vidéo exige en effet un travail de montage assez important, et je ne me sens pas doué pour la chose. Je compte toutefois relancer ma chaîne YouTube, à terme. Mais c’est un autre problème.

Je tiens d’abord à vous remercier pour votre fidélité, votre attachement au blog. Vous êtes désormais 143 abonnés, avec des profils souvent très différents. Cela reste évidemment modeste, en termes de fréquentation et de visibilité. Mais qu’importe, au fond, puisque les choses existent, se maintiennent, progressent. Abordons quelques points, sous forme de bilan.

  • Depuis 2019, le blog connaît une décrue. En 2021, nous enregistrons 10150 vues, pour un total de 5987 visiteurs. Les mentions « J’aime » ont par contre augmenté (132 cette année, contre 118 l’an dernier), et enfin les lecteurs commentent davantage. Je pense que nous allons donc vers une forme de fidélisation: moins de public, certes, mais un public plus investi. J’avoue ne disposer d’aucune explication. Je n’ai pas diffusé le blog à fond comme je le faisais précédemment. Cela demande des efforts, du temps… Or je préfère écrire. D’ailleurs j’aurai publié 120 billets en 2021, soit quinze de plus qu’en 2020. Depuis le début, en septembre 2014, nous en sommes à 108 421 vues.
  • La plupart des visiteurs viennent de France, puis des Etats-Unis, d’Allemagne, d’Irlande, de Belgique, du Canada et de Suisse. Là encore, je ne dispose d’aucune explication plausible. WordPress étant un moteur américain, nous touchons évidemment le monde entier.
  • Nous avons publié 730 billets en six ans. Cette année, l’article ayant récolté le plus de vue demeure ma chronique sur Michel Zimbacca (1924-2021), cinéaste du groupe surréaliste qui nous a quittés en avril. En termes de rubriques et de construction du blog: 2021 aura été semblable à 2020. Je publie en moyenne entre 9 et 10 billets par mois. Certaines classifications demeurent invariables: la série décalée « Angst » expose une photographie dérangeante, ou étrange, glanée sur Google images. La série « Mémoire des poètes » évoque, elle, un auteur vivant ou mort, généralement inhumé au Père-Lachaise. La série « surréalismes » est dédiée à l’art plastique. La série « Libre propos », ou « Réflexion personnelle » correspond à un texte plus ou moins autobiographique, ou à une simple méditation littéraire. La série « critique », mensuelle, est, elle, consacrée à mes impressions de lecture. J’y recycle souvent une note parue dans Diérèse, revue à laquelle je collabore depuis 2003. La série « création personnelle » correspond généralement à un poème écrit par mes soins. La série « mon propre travail » évoque mes rencontres avec des lecteurs, les articles qui me sont consacrés, ou les simples commentaires publiés sur Amazon, Babelio, etc. Enfin, je cite une fois par mois un autre auteur contemporain.
  • Le premier janvier 2021, je disais que je terminerai mon essai sur le Père-Lachaise surréaliste, et je n’y suis pas parvenu. Vendredi 7 janvier, j’envoie un tapuscrit électronique à deux éditeurs, dont l’Harmattan, avec pour titre Panorama 2005-2021. Le texte, qui compte plus de 250 pages, compile les différents articles écrits ces quinze dernières années, parmi lesquels, essentiellement, diverses notes de lectures. J’y ai ajouté les entretiens d’auteurs, au nombre de six. Je m’astreindrai cette fois sérieusement à achever le recueil sur le Père-Lachaise. Si les choses se maintiennent, ce qui est loin d’être évident, je serai par ailleurs présent début mars au festival de Moëlan-sur-Mer, invité par Paul Sanda et par Bruno Geneste.
  • En 2021, année de lancement de la collection, nous avons donc publié trois livres: Le Canon Sanda, essai consacré à la poésie de Paul Sanda écrit par Odile Cohen-Abbas, Chansons et poèmes, un recueil de Paul Vecchiali reprenant les refrains qu’on trouve dans les films, et enfin Villes/Ciudades, anthologie bilingue franco-argentine dirigée par notre ami Pascal Mora, animateur du café/poésie de Meaux, et lui-même auteur. En 2022, si tout va bien, nous publierons cinq ou six livres (selon les possibilités). Le programme est déjà établi, et nous ne pouvons donc recevoir de nouveaux manuscrits. Chaque ouvrage sera très différent. Nous n’en dirons pas davantage. Signalons aussi le lancement d’un blog spécialement consacré à la collection, qui est désormais présente à part entière sur le site des éditions Unicité.
  • Fondé en 2019, le groupe « surréalisme(s)’ poursuit sa route. J’y suis simplement moins présent, tant Facebook s’avère chronophage. J’ai plus ou moins passé le relais à notre ami Eric Dubois, maintes fois cité ici-même. Cette autonomie me convient parfaitement.
  • Enfin, je ne pourrai pas accepter de nouveaux services de presse en 2022. Je dois déjà finir ce que j’ai à faire, soit lire une vingtaine de livres et les chroniquer progressivement. Je ne suis pas payé pour mes critiques (seul le réseau Canopé, lié à l’Education Nationale, verse des droits), et parfois les auteurs me voient uniquement comme quelqu’un qui va parler d’eux. Sans se soucier de mon blog, sans même lire mes propres écrits. C’est ainsi, même si souvent les gens cherchent aussi à me connaître, et qu’on en vient à des échanges intéressants. Simplement, pour des raisons purement techniques, je ne peux poursuivre de la sorte, de même que je ne peux plus lire uniquement ce qui me plaît, au hasard de l’inspiration. Les contraintes de temps m’obligent à me concentrer sur mes propres projets, et donc à parcourir des volumes en rapport avec ces mêmes projets, précisément.

Merci à vous, qui me suivez. Le meilleur pour 2022, année de feu…

Votre ami,

Etienne Ruhaud

Mosaïque romaine (Tunisie). Plaçons 2022, année de feu, sous les auspices du bon Dionysos/Bacchus!

… On se quitte en musique, avec l’immortel, le maudit, Syd Barret (1946-2006), dont l’univers psychédélique m’aura tellement marqué, notamment pour l’écriture d’Animaux.

PS: Enregistré à la Bibliothèque Nationale sous l’ISSN 2427-7193, « PAGE PAYSAGE » est considéré comme un périodique électronique à parution irrégulière, et donc protégé par le code de la propriété intellectuelle.

Flaming

Alone in the clouds all blue
Lying on an eiderdown
Yippee, you can’t see me
But I can you

Lazing in the foggy dew
Sitting on a unicorn
No fair, you can’t hear me
But I can you

Watching buttercups cup the light
Sleeping on a dandelion
Too much, I won’t touch you
But then I might

Screaming through the starlit sky
Traveling by telephone
Hey ho, here we go
Ever so high

Alone in the clouds all blue
Lying on an eiderdown
Yippee, you can’t see me
But I can you

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