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Archives de Catégorie: Disparaître
PIERRE CORMARY PARLE DE « DISPARAÎTRE ».
Merci infiniment à notre ami, l’éminent houellebecquologue Pierre Cormary pour ce bel article sur mon roman Disparaître (éditions Unicité, 2013). Nous reparlerons avec Pierre -éléphanteau blanc d’octobre- de Roumanie et de femmes, très rapidement, à travers un livre.
MES LIVRES SUR « RADIO ACTIV' » (mon propre travail)
Animateur du webzine breton Litzic, Patrick Béguinel, qui a déjà évoqué par écrit Disparaître et Animaux (cf. précédemment), les met cette fois à l’honneur de vive voix sur Radio Activ’, jeune station briochine, dans l’émission B.O.L. (Bande Originale de Livres). Ce n’est donc pas une, mais deux émissions, qui me sont consacrées! Soit un compte-rendu et un entretien, et donc presque une heure autour de mes livres. Je suis naturellement touché, et encourage mes lecteurs à soutenir Litzic ainsi que Radio Activ » (on peut acheter le tee-shirt. On peut également commander les ouvrages des éditions « Sans crispation », désormais gérées par Litzic, ou tout simplement faire un don via Paypal).
https://www.radio-activ.com/index.php/category/podcasts/bol/
« DISPARAÎTRE » CITÉ DANS UN COLLOQUE UNIVERSITAIRE DUNKERQUOIS
La rentrée littéraire approche, avec sa cohorte de romans « jeunes », dans les librairies, dès le prochain Moix. En attendant, vadrouillant sur Google, je découvre qu’on a parlé de mon roman, Disparaître, au cours d’un colloque universitaire, à Dunkerque, en octobre dernier (« L’espace dans le roman contemporain français: approches linguistiques et littéraires »). Je ne connais pas Laura Eugenia Tudoras, qui nous vient de Madrid, mais vais essayer de la contacter afin d’en savoir plus, d’éclaircir le mystère (puisque mon livre n’est plus guère disponible sur Amazon. Un renouveau en Espagne?). À suivre!
« Reconfigurations des dimensions socio-urbaines de l’espace dans le roman français du XXIe siècle », Laura Eugenia Tudoras Universidad Nacional de Educación a Distancia (UNED), Madrid, Espagne. ltudoras@flog.uned.es
Notre proposition de contribution prétend réaliser une lecture analytique-symbolique de la représentation littéraire de l’espace urbain parisien dans les romans Les Heures souterraines (2009) de Delphine de Vigan et Disparaître (2013) d’Étienne Ruhaud. L’étude aborde, d’une perspective théorique-critique, l’analyse de concepts tels que: la représentation de l’espace dans le discours littéraire d’un point de vue sociologique; la représentation de l’espace urbain en tant que configuration d’identités unifiées qui risquent de se confondre et, plus particulièrement, la configuration littéraire de la ville souterraine, ainsi que des espaces qui délimitent les nouvelles frontières urbaines dans le roman urbain plus récent. De même, l’analyse abordera les formes par lesquelles la métropole acquiert la dimension hostile d’un lieu emblématique de l’atomisation, de l’isolement et de l’individualisation; d’un scénario qui favorise la formation d’un type particulier de posture psychologique et sociale qui opère avec des codes et des langages propres. Ces codes et ces langages spécifiques profilent des paysages sémiotiques qui, de concert, configurent la ville à niveau symbolique, social, géographique et littéraire. Le processus de création littéraire repère et reprend les codes de l’espace réel, les déchiffre, les interprète et les transforme pour les rendre après à la société, revalorisés et enrichis de nouvelles connotations, des codes ré-signifiés que la fiction reflète comme un miroir de la construction sociale du lieu et de l’espace. Pour conclure, l’étude proposée analysera la représentation de la ville en tant que texte et la représentation de la ville en tant que réflexion sur la réalité socio-urbaine du XXIe siècle.
Lien vers le site de l’université
UN COMMENTAIRE AUTOUR DE « DISPARAÎTRE » PAR NADINE GRANDEAU SUR AMAZON (mon propre travail, 6)
C’est à l’occasion du Salon des éditeurs indépendants du quartier latin, au lycée Henri IV, que j’ai rencontré Etienne Ruhaud et acheté son livre Disparaître que j’ai commencé de lire aussitôt, sans pouvoir le lâcher. Récit court, incroyablement prenant, presque comme un polar, où un homme perd son emploi à La Poste, donc son logement…On comprend qu’il n’était pas assez productif, compétitif, disons formaté. Il va passer à côté de quelques occasions de s’en sortir, mais né sous une mauvaise étoile (j’ai pensé au film de Rohmer Le Signe du Lion), le destin le rattrapera.
Etienne Ruhaud a un style bien à lui, il décrit la banlieue parisienne, dans une grisaille froide, celle du cœur du personnage qui n’est pas suicidaire, mais lucide. La fin est étonnante et laisse longtemps une mélancolie chez le lecteur. Tout est si précis. On le cherche, mais il disparaît. L’auteur laisse une possibilité au lecteur d’imaginer la suite. Un très beau livre, 112 pages de vraie littérature et une préface de Dominique Noguez.
UN MAIL DE MICHEL HOUELLEBECQ! (mon propre travail, 3)
En 2013 paraissait donc mon premier et unique roman, Disparaître. Lecteur, et grand admirateur de Michel Houellebecq devant l’Eternel, je décidais d’envoyer un exemplaire au Maître. L’ouvrage étant préfacé par Dominique Noguez, qui fut LE découvreur d’Extension… (publié par Maurice Nadeau dont nous avons parlé le mois dernier), j’espérais plus ou moins une réponse. Je ne pense pas que Michel Houellebecq ait lu le livre. Néanmoins il m’a répondu. Je reproduis donc notre bref échange, en ne divulguant pas l’adresse de l’intéressé.

Cher Monsieur,
Dominique Noguez a raison, c’est un titre magnifique. Et il sait donner envie de lire. Vous pouvez m’adresser l’ouvrage à l’adresse suivante :
3, avenue de XXX
75XXX PARIS
Cordialement,
Michel Houellebecq. (le 25 mai à 12h54)
UN COMMENTAIRE SUR « DISPARAÎTRE » (mon propre travail, 2)
On n’est jamais si bien servi que par soi-même, selon le bon sens populaire. Dans cette optique, je reproduirai chaque mois un article ou un mot concernant mon propre travail d’auteur. Lorsque j’ai partagé, fin mars, une note de lecture signée Jean-François Jacq, mon ami Fabrice Marzuolo, poète et responsable de feu la revue L’Autobus, m’a gratifié d’un beau commentaire, que je reproduis ci-dessous. On y parle, naturellement, du roman Disparaître.
Ce livre est un témoignage sans complaisance de l’époque, mais l’auteur y ajoute son humanité, de la poésie et son talent. Ca change du regard comptable, du gavage du cœur sans rien dedans… Il faut du talent, et des nerfs aussi…. Etienne n’en manque pas.
« APNEA » de Marianne Vinégla-Camara: une présentation le 6 novembre 2015 à Paris
La poétesse et artiste Marianne Vinégla-Camara, qui a gracieusement illustré la couverture de Disparaître en 2013, présente son exposition le 6 novembre prochain à Paris, à partir de 19 heures dans le onzième arrondissement (Galerie Kalahari, cité de la Roquette, métro Bastille ou Bréguet-Sabin). Tout (ou presque), est indiqué ci-dessous. Je ne pourrai hélas être présent le soir même pour des raisons d’ordre professionnel, mais vous espère nombreux.
« Chers tous,
Apnea, le tome 2 de In Vivo aux Editions Unicité, verra le jour à la Galerie Kalari 7 à Paris le 6 novembre 2015.
C’est avec beaucoup d’émotion que j’expose pour l’occasion les oeuvres nées des illustrations de cet ouvrage ….
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas mon travail, et pour les curieux, je vous invite à travers mes sites , à découvrir mon univers…
www.mariannecamara.fr
libarto.wix.com/marianne
Pour cette soirée, Laurent Schuh nous fait le plaisir de venir improviser autour du thème de In Vivo en voix et au piano.
Je vous invite à découvrir son travail en suivant le lien qui vous mènera sur le site de la Compagnie des Arts et Mouvants!
http://www.lesartsetmouvants.com/presentation/…
J’espère de tout coeur vous retrouver nombreux, je serai présente à la Galerie tous les jours en fin d’après midi jusqu’au 18 novembre. »
BLOGORAMA 19: « LA TÊTE DE L’ARTISTE », VIDEOBLOG DE YANN LANDRY
Ci-joint un nouveau « Blogorama », ou plutôt, devrais-je dire, un « Vidéoblograma ». Vidéaste, caméraman, écrivain, auteur de plusieurs clips, Yann Landry, qui vit en Languedoc-Roussillon, anime depuis plusieurs années « La tête de l’artiste ». Yann a accepté de se prêter au jeu. L’occasion, aussi, pour moi de faire un peu de promotion, puisque l’ami cherche à filmer des concerts, à réaliser des publicités, comme il l’explique fort bien lui-même:
La Tête de l’Artiste propose des prestations vidéo aux artistes : interviews, clips, reportages, captations de concert, d’expos… Pour que le public puisse connaître puis reconnaître les artistes nouveaux ou moins nouveaux; et cela passe à travers la voix, les expressions corporelles, le visage. L’artiste expose ses points de vue sur lui-même, sa tête, son art, son parcours, son actu… mais également son point de vue sur la création artistique contemporaine et la place de l’artiste dans l’espace culturel. L’artiste fait également découvrir ses prestations scéniques et ses œuvres.
NB: Ci-dessous le roman illustré de Yann, un entretien de l’écrivain-performer Jean-Louis Costes, ma propre interview autour du roman Disparaître, et une publicité pour Canson.
« La tête de l’artiste » (site)
« La tête de l’artiste » (page Facebook)