On n’est jamais si bien servi que par soi-même, selon le bon sens populaire. Dans cette optique, je reproduirai chaque mois un article ou un mot concernant mon propre travail d’auteur. Lorsque j’ai partagé, fin mars, une note de lecture signée Jean-François Jacq, mon ami Fabrice Marzuolo, poète et responsable de feu la revue L’Autobus, m’a gratifié d’un beau commentaire, que je reproduis ci-dessous. On y parle, naturellement, du roman Disparaître.
Ce livre est un témoignage sans complaisance de l’époque, mais l’auteur y ajoute son humanité, de la poésie et son talent. Ca change du regard comptable, du gavage du cœur sans rien dedans… Il faut du talent, et des nerfs aussi…. Etienne n’en manque pas.
Bravo, Etienne!
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Beau commentaire! oui il y a de la consistance dans ce roman avec la pudeur du coeur et son affleurement.
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Bonjour Etienne…beaucoup de gens devraient lire ton livre, les fous libéraux, les grévistes, les blacks machin chose…le changement c’est dans la tête de chacun, et ça passe souvent par la lecture d’un livre comme celui-là.
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